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Page:Hippocrate - Œuvres complètes, traduction Littré, 1839 volume 4.djvu/545

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neuvième, le onzième, le quatorzième, le dix-septième, le vingt-et-unième, le vingt-septième, le trente-et-unième, et le trente-quatrième ; car ces sueurs jugent les maladies ; mais celles qui ne surviennent pas à ces époques annoncent souffrances, longueur de maladie et récidives.

37. Les sueurs froides, se déclarant dans une fièvre aiguë, indiquent la mort ; dans une fièvre plus modérée, la longueur de la maladie (Coa. 562).

38. Dans le corps, là où est de la sueur, là est la maladie.

39. Dans le corps, là où est de la chaleur ou du froid, là est la maladie.

40. Et lorsque dans le corps entier surviennent des changements, tels que passages d’une température ou d’une coloration à une autre, cela indique longueur de maladie (Coa. 122).

41. Une sueur abondante, s’établissant après le sommeil