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Page:Hippocrate - Œuvres complètes, traduction Littré, 1839 volume 4.djvu/551

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52. Dans des fièvres ou d’autres maladies des pleurs motivés n’ont rien d’inquiétant ; mais des pleurs non motivés sont plus inquiétants (Ép. IV, Ép. VI, 1).

53. Lorsque, dans les fièvres, il se forme des viscosités sur les dents, les fièvres deviennent plus fortes (Ép. VI).

54. Ceux qui, dans des fièvres ardentes, ont pendant longtemps une toux sèche, causant une courte irritation, n’ont pas une soif extrême (Ép. VI, 2).

55. Les fièvres nées sur bubons sont toutes mauvaises, excepté les fièvres éphémères (Ép. II, 3).

56. Chez un fébricitant, la sueur survenue, sans que la fièvre cesse, est un signe fâcheux ; car la maladie se prolonge, et c’est l’indice qu’il y a excès d’humidité.

57. La fièvre, survenant chez un malade affecté de spasme ou de tétanos, dissipe la maladie (Coa. 348).

58. Dans un causus, un frisson survenant, solution (Coa. 132).

59. Une fièvre tierce légitime se juge en sept périodes au plus (Coa. 144).