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Page:Hippocrate - Œuvres complètes, traduction Littré, 1839 volume 4.djvu/553

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60. Quand dans les fièvres l’ouïe devient dure, une hémorrhagie par les narines ou une perturbation alvine dissipe la maladie (Coa. 207, Coa. 617).

61. La fièvre, si elle ne quitte pas le malade dans les jours impairs, est sujette à récidive (Coa. 142).

62. Dans les fièvres, les ictères qui se manifestent avant les sept jours sont mauvais (Coa. 118), à moins qu’il ne survienne par le bas un flux de liquide.

63. Les fièvres qui ont un frisson chaque jour se résolvent chaque jour.

64. Les ictères survenus dans les fièvres le septième, le neuvième, le onzième ou le quatorzième jour, sont de bon augure, pourvu que l’hypcchondre droit ne soit pas dur ; autrement, l’ictère n’est pas bon (Coa. 118).

65. Dans les fièvres, une forte chaleur au ventre et de la cardialgie sont fâcheuses.