Page:His Last Bow (1917).djvu/186

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outrageuses que puissent être ses occupations. Elle l'appréciait par ailleurs beaucoup, car il avait dans ses relations avec les femmes une douceur et une courtoisie remarquables. Il n'appréciait guère le beau sexe et s'en méfiait, mais il était toujours un adversaire chevaleresque. Connaissant la sincérité de son attachement envers lui, c'est avec attention que j'écoutai son histoire lorsqu'elle vint me trouver chez moi lors de la deuxième année de mon mariage et m'informa de la triste condition à laquelle se trouvait réduit mon pauvre ami.

"Il est à l'agonie, Dr. Watson", dit-elle. "Cela fait trois jours que son état empire, et je doute qu'il passe la journée. Il refuse que je lui amène un docteur. Ce matin lorsque j'ai vu ses os pratiquement sortir de sa figure et ses grands yeux brillants qui me regardaient, je n'ai pu en supporter davantage. 'Avec ou sans votre permission, je vais chercher un docteur sur l'heure.', lui ai-je dit. 'Dans ce cas que ce soit Watson', a-t-il dit. Je ne perdrais pas de temps à votre place, monsieur, si vous voulez le voir en vie.

J'étais horrifié, car je n'avais rien su de sa maladie. Je n'ai pas besoin de dire que je me ruai sur mon manteau et mon chapeau. Alors que nous nous en retournions, je demandais les détails.

"Je ne peux guère vous en dire plus, monsieur. Il travaillait sur une affaire à Rotherhithe, dans une allée près de la rivière, et il en a ramené cette maladie. Il a pris le lit mercredi après-midi et n'en a pas bougé.