Page:Histoire de Marguerite, fille de Suzon, 1784.djvu/49

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amour l’on trouve une infinité d’occaſions pour ſe ſatisfaire dans toutes ſortes d’attitudes, elle ſoupira & déchargea ſi amplement, qu’elle m’innonda de ſon délicieux fou... depuis le nombril juſques au milieu des cuiſſes. Je goûtai ce même bonheur, comme vous l’allez voir. Elle m’eſſuya, baiſa l’oiſeau ſorti de ſa cage, le careſſa, fit tant enfin qu’en très-peu de tems elle lui fit reprendre ſa forme naturelle. Nous rebeſognâmes une ſeconde fois à notre grande ſatisfaction. À peine étions-nous rajuſtés, qu’arriva madame Bernier. Elle nous