Page:Histoire de Marguerite, fille de Suzon, 1784.djvu/68

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Affreuſe image du trépas,
Marguerite d’un triſte bonheur tu m’as fardé !
Surprenante horreur je ſuis vérolé ;
Eh ! non P.... tu ne le diras pas,
Oui, je t’ai mal enviſagé.
Hélas ! mon peu d’éloignement,
Je te mépriſe bien ſouverainement ;
Mais, mon dieu, je n’ai plus de courage,
Malgré tous les remedes mis en uſage,
J’ai touché à mon dernier moment.
Seul ici & de toute part
À mon deſtin abandonné,

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