et à faire resplendir de son antique éclat son sanctuaire et son pèlerinage ! L’un et l’autre n’ont pu que gagner à l’érection de la statue de Notre-Dame de France.
Pour obtenir cette grâce, j’ose appeler la bénédiction de Votre Grandeur sur cet opuscule et sur son très-humble et très-dévoué serviteur.
Après avoir fait examiner votre manuscrit par un de mes grands Vicaires, je veux vous féliciter et vous remercier.
Mieux qu’à tout autre, il appartenait à vous, enfant du pays, à vous dont le zèle avait si efficacement contribué au succès de cette Œuvre, de retracer les diverses péripéties par lesquelles elle a dû passer, de recueillir et de coordonner des documents dont la perle, irréparable au bout d’un certain temps, eût été vivement regrettée. C’est donc de tout mon cœur que je bénis l’auteur et son travail, lequel, j’en ai la pleine confiance, ne peut manquer, en rehaussant encore la gloire de notre douce et puissante Patronne, d’attirer de plus en plus les faveurs de la Mère de Dieu sur son cher diocèse du Puy.
Recevez, mon Révérend Père, l’assurance de mes meilleurs dévouements.
