- 4 (35) dans la partie du Péloponnèse , qui fut com prise ensuite dans l’Arcadie, et qui en der nier lieu, prit le nom d’Elide. J’ai placé les rois d’Albe parmi les descendans d’Atlas , quoique je n’aie point occasion d’en parler dans cet ouvrage ; mais comme il est pos sible que je le continue, je donnerai alors les raisons qui m’ont fait adopter la suite de ces rois que j’ai trouvée dans le traité intitulé Origo gentis Romanae, de préférence à celles que donnent Denys d’Halicarnasse et Tite-Live. Le tableau qui concerne les que par Duris de Samos ( Apollonii Rhodii Schol. L. IV, v. 264), écrivain posté rieur à Alexandre, et par conséquent de très-peu d’au torité en pareille matière : Duris ne dit même pas que cet Arcas fût venu de la Thessalie, et tout porte à croire qu’il le supposoit fils d’Orchoménus, l’un des fils de Lycaon. Quant au sco liaste d’Euripide, il ne dit pas d’où il tire la généalogie qu’il présente ; mais Etienne de Byzance qui la rapporte aussi, verb. IIzôôzasz, l’attri bue à Mnaséas, écrivain con" temporain de Ptolémée Phys COIl, - - - s’ily avoit quelque chose à me reprocher, ce seroit d’a voir fait Callisto petite-fille de Lycaon contre l’autorité de la plupart des mytholo gues, qui disent qu’elle étoit sa fille, ce qui feroit une génération mais j’ai cru devoir suivre à retrancher, Phérécydes, à cause des syn chronismes établis par Apol lodore et Pausanias. . C
