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VIII
les souterrains.
u-dessous du cachot de Sforce, en est un autre encore plus obscur, et qui ne prend sa lumière qu’à travers l’escalier. On le nomme le cachot de l’Oubliette, à cause d’une ouverture qui se trouvait dans le sol et descendait à l’étage inférieur, dans le souterrain. Nous dirons bientôt ce que nous pensons des oubliettes du château de Loches. On l’appelle aussi le cachot de Guillemet, d’une inscription en petits caractères gothiques écrite sous l’étroite fenêtre :
Ce mot estoe a souvent mis en déroute l’imagination et la sagacité des antiquaires. Il nous paraît signifier simple-