Page:Histoire et vie de l’Arrétin, 1774.djvu/46

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 40 )

un de chaque main, & ſon vit au milieu ; il alloit & venoit doucement & me diſoit toûjours de preſſer nous fimes ſi bien qu’il me mouilla toute. Alors je crus que ſon ardeur ſeroit appaiſée, & après quelques baiſers nous nous endormimes. Vers le matin je ſentis que comme je lui avois tourné le dos, il m’enfonçoit ſon vit roide dans le derriere ; je ne bougeai point & il ne me fit point de mal comme je le craignois au commencement, au contraire j’y trouvai du plaiſir. Il me le fit encore une fois par le même endroit avant de ſe lever, & durant trois nuits il me baiſa pluſieurs fois de même, me tenant toûjours un doig dans le con. D’autrefois il me le fit entrer entre les tetons, les cuiſſes, ſous les aiſſelles, dans l’oreille, & dans la bouche même. Je me divertiſſois à tout & lui auſſi. Un matin après qu’il me l’eut fait par le trou de derriere, je trouvai encore ſon vit roide ; il étoit couché à la renverſe, & je voulus avoir le plaiſir de meſurer la longueur de cet aimable inſtrument, & l’empoignant ;