des primes à l’importation des munitions navales qui ſont à leur portée 160. Succès étonnant de cette entrepriſe 161. Moyens par leſquels elle encourage l’importation, dans ſes ports, des bois, ſurtout, propres à la marine 162. Accorde une forte gratification aux colonies d’Amérique pour encourager la culture du lin & du chanvre 163. État de ce qu’elle payoit à divers pays de l’Europe pour le fer qu’elle en recevoit 167. Elle tente de faire croître des vins en Amérique, mais ſans réuſſite 168 & ſuiv. Ils eſſayent d’y introduire des vers-à-ſoye en y envoyant des Vaudois ; l’eſſai réuſſit, mais n’eſt pas accompagné de nouveaux progrès 170. Raiſons qui, vraiſemblablement, s’y ſont opposées ibid. Encouragement qu’accorde le parlement en 1769 pour l’importation des ſoyes crues de l’Amérique 171. État de détreſſe où elle ſe trouva en 1763, 218 & ſuiv. Elle demande du ſecours à ſes colonies 221. Elle avoit toujours été ſecourue de ſes colonies par des dons & point par des taxes 224. Elle en exige à la paix de 1763 des contributions, qu’elle n’auroit dû que demander, & donna en 1764 l’acte du timbre 230. Suites de cette injuſtice 231. Manière dont les colons d’Amérique regardent les impoſitions de 1767, 232. Eſpérances que la cour de Londres fondoit ſur la clôture du port de Boſton 237. Elles ſont trompées ; réflexions à cet égard 238 & ſuiv. État actuel de ſon numéraire & de la ſituation de ſes finances 255. Suites effrayantes de cette ſituation ſi elle perd l’Amérique 256. Réponſes de l’Auteur aux objections que le gouvernement Britannique pourroit former contre les Américains 256 & ſuiv. C’eſt ſur la fauſſe idée du peu de bravoure des Colons qu’on a osé leur faire la guerre 269. Diſcours qu’un orateur des chambres aſſemblées pour les colonies auroit dû prononcer à la place des plaidoyers qu’on y a entendus 272 & ſuiv. Conſeils à la nation Angloiſe, & diſcours à adreſſer aux Anglo-Américains en leur offrant la paix 274 & ſuiv. Quelle en ſeroit l’iſſue 282. Conduite & langage bien différens tenus par un orateur forcené 283 & ſuiv. Les ſophiſmes du déclamateur entraînèrent la nation à prétendre réduire ſes colonies par la force 287 & ſuiv. Accoutumée aux orages
