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Page:Hoffman - Phèdre, tragédie-lyrique en 3 actes, 1786.djvu/10

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Ô grand Thésée, ô mon auguste père,

Tandis que des brigands tu délivres la terre,

Je poursuis les monstres des bois; [30]

Et la chasse

Me retrace

Et ta valeur, et tes exploits.

Quel beau jour ! Quel air pur ! Le Ciel est sans nuages,

Tout nous offre d'heureux présages, [35]

Tout s'embellit au gré de nos désirs.

LE CHOEUR

.

Déesse des bocages,

Appelle les Zéphyrs;

Défends aux noirs orages

De troubler nos plaisirs. [40]