Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 1, trad. Loève-Veimars, 1832.djvu/13

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discuter froidement les principes. Il ne fallait pas oublier surtout que, s’il est des écrivains qui trouvent leur immense talent et leur verve dans le bonheur et dans l’opulence, il en est d’autres dont la route a été marquée à travers toutes les afflictions humaines, et dont un fatal destin a nourri l’imagination par des maux inouïs et par une éternelle misère.


A. Loève-Veimars.