Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 13, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/213

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LE DIABLE.


Grâce à un orage qui avait passé rapidement, et qui n’avait fait qu’humecter les buissons et les arbres, l’accablante chaleur du jour se trouvait dissipée. Le feuillage brillait d’un éclat nouveau,