Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 13, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/98

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il contempla en silence les pâles rayons de la lune.

Il garda cette attitude quelques instans, puis se retourna, alla à Wolfframb, et lui dit d’une voix forte : — Vous avez raison, Wolfframb de Eschinbach, ma science commande aux puissances cachées ; nos penchans doivent nous séparer. Vous m’avez vaincu ; mais dans la nuit qui suivra celle-ci, je vous enverrai quelqu’un nommé Nasias. Vous aurez une lutte de chant avec lui, et prenez garde qu’il ne vous surpasse.

À ces mots, maître Klingsohr se précipita hors de la Cave-du-Conseil.