Aller au contenu

Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 16, trad. Loève-Veimars, 1830.djvu/66

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

de l'eau de senteur. Marguerite ouvrit les yeux, et poussa un profond soupir ; il semblait qu’on lui eût percé subitement le cœur; mais à présent elle allait mieux.