ici à gémir ? pourquoi n’allons-nous pas à Nuremberg ? n’est-il pas parfaitement égal que nous cherchions cette fatale noix de cratacuc là ou ailleurs ?
» — Cela est vrai, répondit Drosselmeier consolé.
» Tous deux se levèrent aussitôt, secouèrent leurs pipes, et s’en allèrent en droite ligne, des bois où ils étaient, du milieu de l’Asie, à Nuremberg. A peine y étaient-ils arrivés que Drosselmeier courut trouver un sien cousin qu’il n’avait pas vu depuis longues années. Il était fabricant de poupées, vernisseur, doreur, et se nommait Christophe Zacharias Drosselmeier. L’horloger lui conta toute l’histoire de la princesse Pirlipat, de dame Souris-grise et de la noix dure, et à chaque mot le cousin s’écriait : — Que de choses merveilleuses, mon cousin !.. et, d’éton-