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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 18, trad. Loève-Veimars, 1832.djvu/56

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— Ah ! s’écria madame de Brakel un peu émue, sots enfans que vous êtes, vous ne savez pas vous servir des beaux joujoux qu’on vous donne ! Mais M. de Brakel, qui avait écouté avec une satisfaction visible le récit de Félix, dit ensuite : — Laissez les enfans agir à leur fantaisie ; je ne suis pas fâché qu’ils soient débarrassés de ces choses qui les gênaient et les troublaient.

Ni madame de Brakel ni les enfans ne comprirent ce que M. de Brakel voulait dire par ces paroles.