Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 19, trad. Loève-Veimars, 1832.djvu/162

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
150
CONTES ET FANTAISIES.

Le parfait Machiniste.

Du temps que j’étais directeur de l’Opéra à ***, il me prenait souvent fantaisie de visiter le théâtre. Je m’occupais beaucoup de décors et de machines ; je méditais sur tout ce qui s’offrait à mes regards. Je consignerais volontiers