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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 19, trad. Loève-Veimars, 1832.djvu/162

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CONTES ET FANTAISIES.

Le parfait Machiniste.

Du temps que j’étais directeur de l’Opéra à ***, il me prenait souvent fantaisie de visiter le théâtre. Je m’occupais beaucoup de décors et de machines ; je méditais sur tout ce qui s’offrait à mes regards. Je consignerais volontiers