Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 3, trad. Loève-Veimars, 1832.djvu/154

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Amène-le-moi, que je le voie, ce bel enfant !

À ces mots de la vieille, Antonio se jeta à deux genoux, et s’écria : — Rigueur du ciel, laisse-moi la vie jusqu’à ce que je l’aie pressée une fois sur mon sein, et puis je pourrai mourir !