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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 3, trad. Loève-Veimars, 1832.djvu/176

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tempête : mais alors la mer, cette veuve jalouse du doge décapité, éleva ses vagues de chaque côté de la barque, comme deux bras gigantesques, et engloutit les deux amans dans ses abîmes sans fond.


FIN DE MARIWO FALIERI.