Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 3, trad. Loève-Veimars, 1832.djvu/53

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CHAPITRE V.


Les paroles du professeur avaient augmenté les soupçons que m’avait fait concevoir la mort d’Antonie ; et j’étais alors convaincu que le conseiller avait de grandes fautes à expier. Je ne voulais