Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 3, trad. Loève-Veimars, 1832.djvu/92

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sequins ; s’ils ne te suffisent pas, je t’en donnerai davantage : mais accorde-moi la grâce de ne jamais reparaître à mes yeux.

À ces mots, des éclairs jaillirent des yeux du vieillard, et son visage se colora d’une rougeur nouvelle. Antonio, fort étonné, ne laissa pas, avant que de s’éloigner, de prendre les deux sacs qu’il croyait avoir bien légitimement gagnés.