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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 4, trad. Loève-Veimars, 1832.djvu/108

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CHAPITRE V.


Le conseiller était resté plus stupéfait de la malédiction de Manassé que du sortilège de l’orfèvre ; cet anathème était en effet bien cruel, car enfin il avait souhaité au conseiller le Dalès dans sa maison.