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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 4, trad. Loève-Veimars, 1832.djvu/114

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que, si Albertine devient ta fiancée, tu partiras aussitôt pour l’Italie ?

— C’est là mon dessein, et je jure de l’exécuter.

— Eh bien ! Edmond, reprends courage ; je te promets, moi, que dans peu de jours Albertine sera ta fiancée. Tu ne doutes pas, je pense, que je sois en état de remplir une promesse.

Léonard s’éloigna rapidement, et laissa le jeune homme livré aux plus douces illusions.