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Page:Hoffmann - Œuvres complètes, t. 4, trad. Loève-Veimars, 1832.djvu/221

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SECONDE PARTIE.


Toute la maison du colonel était dans l’agitation. On voyait sans cesse monter et descendre les laquais couverts de riches livrées, et la cour était remplie de carrosses qui amenaient les personnes