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Page:Hoffmann - Contes fantastiques,Tome 2, trad. Egmont, 1836.djvu/51

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Alors le colonel leva le poing fermé contre le ciel, il poussa un hurlement sourd, et se précipita hors de la maison. — On n’a jamais rien appris depuis lors sur son compte.[1]


  1. Il y a quelques phrases de conclusion dans l’original ; voir page de discussion.