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Page:Hofland - Montolieu - Ludovico - tome 2.djvu/106

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déplaise, les arbres, les lacs, les montagnes, les vaches, les hommes et toutes les bêtes comme le bon Dieu les a faites, si ce n’est qu’ils sont plus petits.

Ludovico aurait ri de cette éloquence irlandaise s’il avait pu penser à autre chose qu’à la joie qu’aurait son père, en apprenant qu’il pourrait voir celui qui avait acheté son beau tableau. Il savait combien il le désirait, et peut-être, pensait-il, il achetera encore ceux-ci. Sinister se promenait avec humeur, prévoyant aussi qu’ils allaient lui échapper.

Votre maître est donc à Londres ? dit Ludovico à Dermot ; et un rayon de joie animait son regard en pensant qu’il verrait peut-être aussi celui qui avait montré tant d’estime pour le talent de son père.

Oui, oui, mon jeune Monsieur,