ni de regarder ni de causer. Le portier lança un coup d’œil significatif au jeune homme, qui suivit son protecteur. Il était bien un peu honteux de paraître dans son triste équipage ; mais ses tableaux étaient parés, et Dermot assurait qu’on ne regarderai pas autre chose. Tout en montant escalier, il ne cessa de vanter la beauté de ces bordures : cet éloge n’aurait pas flatté le peintre, mais Ludovico en prit plus de courage.
Dermot l’introduisit dans un grand salon dont il ouvrit les deux battans, en criant : Avancez-donc. Il avait besoin de le dire, le pauvre enfant était si interdit qu’il n’osait faire un pas et à peine lever les yeux.
Plaise à votre honneur, dit Dermot à son maitre, voilà le jeune garçon dont j’ai tant parlé hier au soir à votre honneur en le déshabillant, le fils du beau tableau d’Irlande, c’est-à-dire