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Page:Hofland - Montolieu - Ludovico - tome 2.djvu/202

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CHAPITRE XVIII.

Agnès commença à s’occuper d’habiller Ludovico, qui devait sortir le lendemain. Très-proprement mis, en grand deuil, et la contenance un peu moins abattue, il se mit en chemin pour porter le porte-feuille d’esquisses à son possesseur actuel. Arrivé à Fitz-roi-Square, il frappa à l’adresse indiquée. Un domestique vint ouvrir et l’introduisit d’abord dans un joli salon. À l’un des bouts était assise, devant une table à ouvrage, madame Joung, femme agréable, qui lui parut du même âge que sa mère. Elle le reçut avec affabilité et lui montra une chaise auprès d’elle, en lui faisant signe, par un regard, que son mari était occupé