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Page:Hofland - Montolieu - Ludovico - tome 2.djvu/39

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compagnon d’un charpentier, d’un fondeur, etc. etc., de sortir de ce sombre atelier, de ne plus imiter que les œuvres du Tout-Puissant. »

Mais, mon cher Alfred, lui dit Agnès, puisque vous êtes si près d’avoir fini cette belle machine, vous ne voulez sûrement pas l’abandonner ! Vous peindrez après autant qu’il vous plaira ; mais avant de vous y remettre il faut achever ce que vous avez si bien commencé, ce qu’on attend de vous.

Quelle absurdité ! s’écria Lewis ; il faudrait que je fusse fou pour perdre un jour de plus dans cette obscure place. N’avez-vous donc pas lu ce qu’a dit ce Monsieur : « que c’est le plus grand dommage qu’un tel artiste soit confiné dans une ville de province. » Il a raison, mille fois raison ; Londres est le seul séjour où un ar-