Page:Hope - L’Étoile des fées, trad. Mallarmé, 1881.djvu/11

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.






PAGE 18.


Il se trouva qu’une des petites princesses, Sibyle, était souffrante…

La mignonne, dans sa détresse, fit appel à sa sœur.