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épodes.

jour, et le jour la nuit, et rien ne peut apaiser le souffle de ma poitrine. Donc, je suis vaincu au point de croire, malheureux, ce que j’ai nié, que les incantations Sabines déchirent le cœur et que les cris lugubres des Marses brisent la tête. Que veux-tu de plus ? Ô mer ! ô terre ! Je brûle plus encore que Herculès imprégné du sang noir de Nessus, et que la violente flamme Sicanienne qui bouillonne dans l’Ætna ! Et toi, jusqu’à ce que je sois emporté, cendre aride, par les vents injurieux, tu chauffes sur ton foyer les poisons de Colchos ! Quelle fin ou quelle rémission m’attend ? Parle. J’accomplirai fidèlement tes ordres, je suis prêt à expier, soit que tu demandes cent taureaux, soit que tu veuilles être célébrée par ma lyre menteuse. Ô pudique, ô vertueuse, tu t’avanceras, astre d’or, parmi les étoiles ! Castor, et le frère du