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Page:Horace - Odes, juxtalinéaire, 1847.djvu/224

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2’18 - CÈEMINUM “Lissa lI. " CARMEN XX. _ . in 'MÆGENATEM.

Non usita‘taa nee ..tenui ferer s — Penna‘ bifor'mis? perl liquidum æthera Vetes ,' 'n'eque iu- terris morebur 'L0ngius invidiägue major æ Urbes relinquam. Non. ego pauperum - ‘ J 5 Sanguis parentuu‘i; non ege ,' quem vocàs,- . Di‘lecte MæeenaS', pbibu, r Nec Stygi'a cohihebe‘f uuda. ' Jamjam residunt erurihusïasperæ . _ Pelles et album muter in alitem ' ’ u . .' r- I 40 Superne nascunturqueleves z ' “Per digites humerosqueplumæ. JamDædaleeecior Icaro '5’, . ' Visam gementis littereuBosper‘i“ r ’ Syrte'sque _Gæf‍iules-5'cauerus 1 ' " ' l ". 45 _ Ales Hÿperboreosqùe canï’pesü. '

ODE A. MÉCENE-

Perte sur une aile puissante et inconnue aux mortels ,“je'vais , sous une double ferme, m’elancer dans les pleines de l’air. Je ne serai pas 'retenu plus longtemps. sur le ferre, et,‘vai_nqueur _de17envies j'ebepdonuerei. le séjour d'eshommes.’ Non, je 'ne m‘eurrei point, moi, rej eten d’une pauvre famille, moi, que tu appelles près de tûi, cher Me’eène, et je ne serei point enferme dans les contours du Styi. Déjà. une peau plus rude s’étend sur mee. jambes ; me tête est eelle dïun oiseau au bleue plumage, et des plumes naisseutes reïêtent d’un du- vet argenté mes mains et mes'épeules. j . f

Bientôt plus rapide que le f‍ils de Dédele, j’irai,— chantre .me'lo- dieux, visiter les rivages mugisseuts du Besphere, les Syrtesde ' Gétulie e15 les champs hyperbei‘e'ens. L'habiteut de Nle'I-Colehide, le