Aller au contenu

Page:Houdar de La Motte - Œuvres complètes, 1754, tome 9.djvu/292

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Le marché sonne en vain, dit le chantre criant,
Il sonne ? Adieu, dit l’autre ; en vous remerciant.

Du grand effet de nos ouvrages
Nous nous applaudissons toûjours.
De tels et tels nous vantons les suffrages ;
Et souvent tels et tels sont sourds.