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XXIII

ASPIRATION VERS L’ARBRE DE LA SCIENCE


La veille de la représentation de la comédie où Rosine devait se révéler, on avait donné son rôle à une mauvaise comédienne qui avait de belles robes.

Rosine, déjà souffrante, tomba malade, — le mal de la vie ou le mal de la mort. — Sa pâleur devint plus marbrée, ses yeux plus profonds, son sourire plus attendri.

Elle resta deux jours sans se plaindre à per-