Page:Houssaye - La Vertu de Rosine, 1864.djvu/31

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— Mais la nuit ?… dit-elle tout à coup.

À cette pensée, elle retomba du haut de ses rêves, et vit en rougissant ses seins soulevés par les battements de son cœur.

Deux beaux seins, que, jusque-là, elle n’avait jamais regardés.