de répertoire. « J’irai à votre école, mademoiselle. » Mais il était trop tard pour que Rachel daignât lui donner des leçons. Il avait un cousin, Pierre Malitourne, qui, pendant plusieurs années, remplaça Gérard de Nerval dans la critique théâtrale de l’Artiste.
Véron avait aussi frappé à la porte de Scribe, cet ardent trouveur, qui aurait pu écrire trois cent soixante-cinq pièces par an, mais qui se contenta d’en écrire trois cent soixante-cinq pendant toute sa vie. Alexandre Dumas seul était capable d’un pareil labeur. Moins de pièces, mais plus d’actes : ne donna-t-il pas des drames en plusieurs journées ? Ceci me rappelle une histoire de belle forfanterie littéraire :
Au premier mois de ma direction du Théâtre-Français, il me vint l’idée, pour l’anniversaire de la naissance de Molière, de représenter une comédie sous ce titre : les Entr’actes de la Comédie de Molière. On comprend