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Scène V.
GENNARO, DONA LUCREZIA.
Dona Lucrezia.
Cette terrasse est obscure et déserte ; je puis me démasquer ici. Je veux que vous voyez mon visage, Gennaro.
Elle se démasque.
Gennaro.
Vous êtes bien belle !
Dona Lucrezia.
Regarde-moi bien, Gennaro, et dis-moi que je ne te fais pas horreur !
Gennaro.
Vous me faire horreur, madame ! et pourquoi ? Bien au contraire, je me sens au fond du cœur quelque chose qui m’attire vers vous.