Page:Hugo Œuvres complètes tome 5.djvu/404

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Gubetta.

Et moi je voudrais être plus riche que je n’ai l’honneur de l’être pour en donner de pareils à mes amis.

Oloferno.

Rien n’est si doux que de chanter une belle femme et un bon repas.

Gubetta.

Si ce n’est d’embrasser l’une et de manger l’autre.

Oloferno.

Oui, je voudrais être poète. Je voudrais pouvoir m’élever au ciel. Je voudrais avoir deux ailes…

Gubetta.

De faisan dans mon assiette.

Oloferno.

Je vais pourtant vous dire mon sonnet.

Gubetta.

Par le diable, monsieur le marquis Oloferno