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Scène III.


GENNARO, DONA LUCREZIA.
Il y a à peine quelques lampes mourantes dans l’appartement. Les portes sont refermées. Dona Lucrezia et Gennaro, restés seuls, s’entre-regardent quelques instants en silence, comme ne sachant par où commencer.


Dona Lucrezia, se parlant à elle-même.

C’est Gennaro !

Chant des moines au-dehors.

Nisi Dominus ædificaverit domum, in vanum laborant qui ædificant eam.

Dona Lucrezia.

Encore vous, Gennaro ! Toujours vous sous tous les coups que je frappe ! Dieu du ciel ! comment vous êtes-vous mêlé à ceci ?