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Si bien qu’un matin, le prince exaspéré entrait dans le cabinet de son secrétaire Mocquart et s’écriait : — Délivrez-moi de Catherine Bouvard !
Vérification faite, la police consultée, on allait chez l’homme, lequel demeurait rue des Grands-Augustins, et il se trouvait que Ponsard vivait avec Catherine Bouvard, que le dénonciateur faisait ménage avec la dénoncée, que les petites altesses imputées à Louis-Napoléon n’étaient autre chose que des petits Ponsards, et que l’indignation des quatre épîtres n’avait d’autre but que d’extorquer quelques napoléons à Louis ou quelques louis à Napoléon.