Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Correspondance, tome I.djvu/171

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Adieu, mon angélique et bien-aimée Adèle, adieu ! je vais baiser tes cheveux et me coucher encore loin de toi, mais en rêvant à toi. Bientôt peut-être, ce sera à tes côtés. Adieu, pardonne tant de délire à ton mari qui t’embrasse et t’adore pour les deux vies.

V.-M. H.

Ton portrait ?