Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome II.djvu/448

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Comme des oiseaux sur les grèves,
Mon cœur gronde et bouillonne, et je sens lentement,
Couvercle soulevé par un flot écumant,
S’entr’ouvrir mon front plein de rêves.


12 juin 1837