Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome II.djvu/642

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Vous semblez ignorer, passant robuste et doux,
Tous les angles que fait le monde autour de vous,
Je me traîne après vous, pauvre femme blessée.
D’un corps resté debout l’ombre est parfois brisée.

     Mars 1839.