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Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome IX.djvu/49

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EN VOYANT PASSER DES BREBIS TONDUES.

Qui s’en vont ne laissant que du rêve après eux.
Le destin, composé d’énigmes nécessaires,
Hélas ! met au delà de toutes les misères,
De tout ce qui gémit, saigne et s’évanouit,
Le morne effacement des errants dans la nuit !