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J’admire les papillons frêles
Dans les ronces du vieux castel ;
Je ne touche point à leurs ailes.
Un papillon est un pastel.
Je suis un fou qui semble un sage,
J’emplis, assis dans le printemps,
Du grand trouble du paysage
Mes yeux vaguement éclatants.
Ô belle meunière de Chelles,
Le songeur te guette effaré
Quand tu montes à tes échelles,
Sûre de ton bas bien tiré.
17 août.