Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome VII.djvu/193

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Ô Mérante, il n’est rien qui vaille
Ces purs attraits, tendres tyrans,
Un sourire qui dit : Bataille !
Un soupir qui dit : Je me rends !

Et je donnerais la Castille
Et ses plaines en amadou
Pour deux yeux sous une mantille,
Fiers, et venant on ne sait d’où.


Route de Heidelbron à Carlsruhe, 6 septembre.