vague, et dont
Pour rêver un palais dont, coquette, elle est sûre
Montespan
Maintenon
Un palais, et qu’Agnès en Fontanges s’achève,
Qu’elle est pauvre ; qu’elle a des fleurs dans ses cheveux,
Et que c’est pour cela, butor, que je la veux !
Et j’enrage. Et je vois dans ses mains mon amante…
[Le sort, qui ne veut pas que je sois sans amante,
M’élève au fond de l’ombre une fille charmante,
Celle qu’évidemment je rêve. Elle est pour moi.
Ce George ! profiter de ce qu’il n’est pas roi
Pour se mettre à ma place ici ! quelle canaille !
Il faut donc, s’il vous plaît, qu’à présent je m’en aille !]
Au verso du feuillet 199, quelques vers biffes de la fin de la scène ii.
SCÈNE III. — Le duc Gallus, Nella.
Premier début de la scène, ne comprenant pas la description du logis :
Sans payer, oui, monsieur.
Quoique sans goût.
Quoiqu’à la diable. — On voit dans les contes de fée,
Mademoiselle, au fond de quelque affreuse tour,
reines
Des belles comme vous pour qui meurent d’amour
De galants paladins, parfois un peu bravaches.
— Ah çà ! que faites-vous ici ?
Je trais les vaches.
Traire une vache est beau, mais n’est pas le bonheur.
En regard, la première version de l’inspection du burg, version biffée, puis recopiée et développée au feuillet suivant. Voici le premier texte :
Édifice à classer parmi les historiques.