Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome XIV.djvu/380

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LXVIII Vent du soir !


Vent du soir ! dont le vol nous courbe tous ensemble,
Respecte le blé d’or plein des rayons du jour,
Respecte tous les coeurs où quelque flamme tremble,
Mais jette où tu voudras, emporte où bon te semble
La paille sans épi, la femme sans amour !

LXIX Quand je ne serai plus qu’une cendre glacée